Des produits garantis pour se protéger du marché, suivi des marchés et pause durant l’été

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Des produits garantis pour se protéger du marché, suivi des marchés et pause durant l’été

Des produits garantis pour se protéger du marché

Rendement garanti et rente garantie chez Empire Vie

Empire Vie offre le produit Catégorie Plus 3.0 qui inclut une partie placement avec rendement garanti de 4% annuellement sur une période de 20 ans et par la suite, une rente garantie pendant 20 ans. Des garanties de 75% de votre investissement sont aussi incluses à l’échéance et au décès.

Pendant votre période d’accumulation, le programme vous garantit un rendement de 4% annuellement. Tous les trois ans, le programme se comparera au marché et vous offrira le plus haut montant entre le marché et vos garanties. Voici une vidéo de présentation du programme.

Une fois à la retraite, le programme transforme votre placement en une rente garantie pendant 20 ans représentant 4% de votre montant garanti à l’age de 65 ans, peu importe ce que fera le marché. Si le marché performe mieux que vos garanties, vos prestations seront majorées en conséquence. Voici une vidéo de présentation de la rente.

Garantie du capital à 100% au décès chez la RBC

Si vous voulez protéger votre succession des variations du marché et s’assurer que vos placements ne soient pas impactés par une baisse de marché lors de votre décès, la RBC offre une série de fonds distincts avec des garanties de 100% au décès.

Le programme est disponible pour les gens de moins de 80 ans et, selon la version choisie, vous permet de cristalliser vos gains à chaque année pour augmenter votre garantie au décès. Vous pouvez en apprendre plus ici.

Contactez-nous pour plus d’information

Si vous pensez que l’un de ses produits pourraient répondre à vos besoins, nous vous invitons à communiquer avec nous. Nous prendrons le temps de valider avec vous les points importants des programmes pour être sûrs qu’ils vont répondre adéquatement à vos besoins.

Suivi des marchés

États-Unis :

Les actions américaines n’ont pas pu maintenir leur élan positif depuis la montée de la semaine dernière, les principaux indices américains ayant chuté entre 1,28% et 4,13%. Pour le S&P500 et le Nasdaq, il s’agit du 11e résultat hebdomadaire négatif sur les 13 derniers.

L’indice S&P500 vient donc de conclure son pire premier semestre depuis 1970!

Révisions des estimations des firmes américaines :

Plusieurs firmes ont revu à la baisse leurs estimations quant au niveau où le S&P500 devrait se situer à la fin de l’année 2022.

Taux obligataires : Les prix des obligations du gouvernement américain ont grimpé pour la troisième semaine consécutive, faisant chuter le taux des obligations du Trésor américain à 10 ans à 2,89% vendredi, contre 3,13% à la fin de la semaine précédente. De plus, pas plus tard que le 14 juin, le taux obligataire américain à 10 ans avait grimpé jusqu’à 3,48%, un niveau jamais vu depuis avril 2011.

Malgré le pire début d’année depuis 1970, la moyenne des baisses intra-annuelles au sein du Bloomberg US Agreggate bond index se chiffrent à 3,1% et des rendements annuels positifs ont eu lieu lors de 42 années sur les 46 dernières.

Données économiques : Un rapport sur le secteur manufacturier américain a ajouté aux craintes que la hausse des taux d’intérêt ne plonge l’économie américaine dans une récession. En effet, l’indice de fabrication de l’Institute for Supply Management (ISM) a chuté plus que prévu en juin pour atteindre son plus bas niveau en deux ans. Les nouvelles commandes se sont contractées, freinées par des contraintes d’approvisionnement persistantes et un certain ralentissement de la demande. D’autres part, l’indice des nouvelles commandes a chuté de près de 6 points à 49,2, le résultat le plus faible depuis mai 2020. La baisse des commandes survient alors que les dépenses de consommation ralentissent sous le poids de l’inflation et que les inventaires s’accumulent.

Par ailleurs, le plus récent modèle (GDPNow) de la Fed d’Atlanta, qui suit les données économiques en temps réel et s’ajuste en permanence, voit la production économique se contracter de 2,1% au second trimestre. Couplé à la baisse de 1,6% au premier trimestre, cela signifierait que l’économie américaine répond à la définition d’une récession technique – deux trimestres consécutifs de croissance économique négative.

Canada :

Le S&P/TSX a clôturé en baisse de 1,1% jeudi, la dernière journée de négociation de la semaine raccourcie par les vacances, alors que tous les secteurs ont terminé en territoire négatif, avec des pertes au sein des secteurs des soins de santé (-4,1%), suivis des matériaux (-3,6%), de la technologie (-1,7%) et pétrole (-1,1%).

Les investisseurs canadiens ont digéré de faibles données préliminaires en ce qui concerne la production économique en mai (-0,2%). Ceci a davantage alimenté les inquiétudes concernant la croissance économique. Finalement, l’indice boursier canadien a terminé le premier semestre de 2022 en baisse de 11,1%, principalement en raison d’une chute de 13,8% lors du second trimestre.

PIB mensuel canadien (données préliminaires – mai 2022) :

Neuf des 10 titres les plus performant du S&P/TSX sont des actions énergétiques, Spartan Delta Corp. et Athabasca Oil Corp. menant les gains avec des augmentations de 109% et 107% respectivement depuis le début de l’année.

Pendant ce temps, les actions financières ont chuté drastiquement depuis plusieurs semaines alors que la hausse des taux d’intérêt et l’inflation record ont effrayé les investisseurs. Les banques et les assureurs, qui représentent près d’un tiers du marché boursier canadien, ont nui à la performance de l’indice de référence.

Europe :

Les actions en Europe ont chuté en raison des craintes que la flambée de l’inflation et la hausse des taux d’intérêt n’affectent les bénéfices et ne plongent les économies dans une récession. En devises locales, l’indice DAX allemand a reculé de 2,33%, le CAC40 français a perdu 2,34% et le FTSE MIB italien a chuté de 3,46%.

Alors que les membres de la BCE ont continué d’évoquer la possibilité d’une hausse des taux d’intérêt de 50 points de base dès juillet, la présidente de la BCE, Christine Lagarde, a réitéré ses prévisions d’une augmentation de 25 points de base suivie d’une autre hausse en septembre, dont l’ampleur dépendrait des données économiques à venir.

Inflation européenne : L’inflation de la zone euro s’est accélérée pour atteindre un nouveau record de 8,6% en juin, tirée par la flambée des prix de l’énergie et des aliments, selon les premières estimations d’Eurostat.

Sentiment économique européen : Par ailleurs, une enquête de la Commission européenne a montré que le sentiment économique s’est affaibli à mesure que le pessimisme des consommateurs s’accentuait et que la confiance des détaillants se détériorait.

Chômage en Allemagne : Le taux de chômage allemand a augmenté de manière inattendue à 5,3% en juin contre 5% en mai – la première augmentation en plus d’un an – après que les réfugiés ukrainiens aient été ajoutés pour la première fois aux données de sécurité sociale.

Chine :

Les marchés boursiers chinois ont progressé grâce à de solides données économiques liées aux usines et à l’assouplissement des restrictions liées à la Covid pour les voyageurs. L’indice composite de Shanghai, a augmenté de 1,3% et l’indice CSI 300, qui suit les plus grandes sociétés cotées à Shanghai et Shenzhen, a augmenté de 1,6%.

Politique sanitaire : Mardi, la Chine a réduit de moitié les délais de quarantaine pour les voyageurs entrants. En vertu de la nouvelle politique, les voyageurs doivent passer sept jours dans une installation de quarantaine, puis surveiller leur santé à domicile pendant trois jours. Le président Xi Jinping a déclaré que la stratégie actuelle contre la pandémie était « correcte et efficace et doit être maintenue sans faille ».

Données économiques : L’indice officiel des directeurs d’achat (PMI) de la fabrication et des services a dépassé 50 en juin, car une baisse des nouvelles infections a permis au gouvernement d’assouplir les restrictions. Le PMI manufacturier est donc repassé en territoire d’expansion en juin (maintenant à 50,2), tandis que le PMI non manufacturier a rebondi à 54,7 en juin.

Par ailleurs, l’enquête Caixin/Markit PMI, une enquête privée qui se concentre davantage sur les petites entreprises des régions côtières, a montré que l’activité manufacturière a augmenté au rythme le plus rapide en 13 mois en juin.

PMI manufacturier chinois – juin 2022 :

Banque centrale chinoise : La Banque populaire de Chine (PBOC) a déclaré qu’elle utiliserait des outils de politique structurelle pour renforcer la confiance au sein de l’économie à la suite de la réunion trimestrielle du comité de politique monétaire de la banque centrale.

Sources: Placements Mackenzie, Barron’s, Reuters, Bloomberg, FactSet, CNBC, tradingeconomics, Moody’s.

Pause durant l’été

Comme l’an passé, l’infolettre prendra une pause durant le mois d’août à moins d’un événement majeur durant l’été. Nous reprendrons nos publications début septembre à la même fréquence qu’actuellement. Nous restons par contre disponibles durant tout l’été pour faire des rencontres virtuelles et traiter vos demandes.

Bon été à tous.

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